- Du choix de la structure d’exercice : Analyse de l’opportunité ou non d’interposer une structure spécifique (SEL, SELARL, SARL, etc.)
- Rédaction des statuts adaptée
- Répartition des pouvoirs politiques et économiques
- Rémunération du dirigeant (salaires, dividendes, intéressement, PERCO …)
- Accomplissement des formalités de constitution
- De la protection du conjoint et de la famille
- De la protection en cas de divorce
- De la protection du patrimoine privé
- Du financement
- Du régime fiscal
- De la mise en relation et accompagnement auprès d’un réseau d’experts du droit et du chiffre rigoureusement sélectionnés
Néanmoins, l’ouverture du capital à des investisseurs extérieurs, dans le cadre d’un actionnariat salarié par exemple, doit être préparée afin de permettre au dirigeant de conserver le contrôle ou le pouvoir décisionnel.
Le développement de votre activité peut également s’effectuer par l’acquisition et le financement de l’immobilier d’entreprise.
Cependant, le professionnel libéral doit également veiller à se constituer un patrimoine privé afin de maitriser les interactions de son activité professionnelle avec sa situation personnelle.
Enfin, il doit pérenniser son activité, notamment s’il lui devient impossible d’assurer ses fonctions.
Galilée Gestion de Patrimoine conseille et accompagne les professions libérales afin d’assurer leur protection sociale. Nous étudions et orientons nos clients vers des contrats adaptés à leur situation et leurs besoins et vérifions que leurs garanties couvrent leurs besoins, que ce soit en revenus ou en capitaux.
Nous accompagnons alors nos clients afin de déterminer ensemble leurs besoins à la retraite afin de définir une stratégie retraite dans le but de préserver le niveau de vie au moment de la cessation d’activité.
En effet, il convient de veiller à se constituer un patrimoine privé afin de maitriser les interactions de son activité professionnelle avec sa situation personnelle.
Ainsi, nous déterminons avec nos clients leur stratégie patrimoniale, notamment :
- La répartition entre les différents biens professionnels et personnels et leur mode de détention ;
- L’allocation entre les différentes classes d’actifs ;
- Le niveau de risque ;
- La réorientation de l’effort d’épargne ;
- Le niveau d’endettement maximal ;
- Etc.
Nous constatons souvent l’adoption par ces professionnels de tactiques opportunistes dans le but de diminuer ponctuellement leur imposition, au détriment de la mise en d’une planification fiscale sur le moyen/long terme. En effet, investir de manière dispersée et ponctuelle constitue un risque pour les clients de se constituer un patrimoine disparate, ne correspondant pas à leur situation et à leurs objectifs. L’optimisation fiscale ne doit pas constituer l’objectif patrimonial principal.